Les stèles discoïdales - Notes de bas de page

  1. Le cadastre napoléonien de 1833 et un acte de vente de 1853 (archives communales), utilisent encore le terme d’ancien cimetière pour désigner la petite place située au nord de l’église, face à l’actuel portail d’entrée.
  2. Les stèles discoïdales de la nécropole d’Argiñeta à Elorrio, Biscaye (VI/IXe siècles de notre ère), ou celles, géantes et pré-romaines de Cantabrie (parc de Barros, musée de Santander), fournissent des exemples de monuments qui ne comportent que des représentations astrales.
  3. Claude LABAT, Les stèles discoïdales basques. Du passé vers le futur, Aquitaine Historique, n° 97, 2009, pp. 4-9.
  4. Dans le Nouveau Testament (Luc 1, 78), Zacharie prophétise « la visite du soleil levant pour illuminer ceux qui se tiennent dans les ténèbres et l’ombre de la mort ».
  5. Parmi les inscriptions qui ont pu être déchiffrées sur les stèles, les noms de BARBE, CASSOU, HORCADE, MESPLE, PAISAS, BAYLE (1640), JAGOU (1660), CARRERE (1667), PUYADE (1673), LOUSTAU (1691), PONT (1691), RANGOLLE (1719), LAPLUME (1713), LARRIU (1721), LÈBE (1737), SEDZE DEBAIG (1742), LARROQUE (1750), LARRECOT (1760) et PIQUÉ (1770) appartiennent à des familles d’Aubertin, tandis que ceux de BEROT, MALAPESSE, CROHARE, TAPIAT et TEIX (1737) concernent des familles de La Commande d’Aubertin.
  6. Jean Claude LASSÈGUES et Isabelle MONART, Les stèles funéraires discoïdales de Lacommande, Revue de Pau et du Béarn, pp 13-28, n° 41, 2014.